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Communiqué

A la suite de l'incident du samedi 5 juillet, lors de la commémoration du centenaire de l'assassinat de Jean Jaurès, où M. Perdriau, actuel maire de la ville de Saint-Étienne, a qualifié publiquement les Jeunes Communistes de la Loire de "fascistes" sur la radio France Bleu Saint-Étienne, nous décidons, après ratification à l'unanimité en assemblée générale, de porter plainte officiellement contre M. Perdriau pour injure.


Les Jeunes Communistes de la Loire


Mouvement Jeunesse Communiste de France
3 rue Brossard 42000 Saint-Étienne
http://jeunes-communistes-42.org
contact@jeunes-communistes-42.org
0659014340
Facebook : jc.delaloire
Twitter : jcloire

 

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Les premières réactions :

Les JC veulent interdire toute comparaison

entre le communisme et le nazisme

 

C’est un point assez intéressant que soulèvent les Jeunes Communistes de la Loire. Ces jeunes gens commencent par attaquer le maire devant les tribunaux, estimant qu’être qualifiés de « fascistes » est déplacé et absurde. Pourquoi pas, mais alors, dans ce cas, ils doivent admettre que les dirigeants du Front national traînent devant les tribunaux tous ceux qui, communistes compris, lancent le célèbre slogan « Et F comme fasciste, et N comme Nazi, à bas, à bas, le Front national ! ».

Donc, d’entrée, se croyant dans un régime autoritaire, peut-être nostalgiques des grandes années du socialisme réellement existant, les Jeunes communistes interdisent ce débat, et décident de le judiciariser.

Pourtant, historiquement, des intellectuels, qui avaient sans doute la chance de ne pas habiter dans la France du 21e siècle, avaient osé cette comparaison.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Comparaison_entre_le_nazisme_et_le_communisme

L’Allemand Ernst Nolte voyait dans les deux systèmes des similitudes incontestables. François Furet y détectait le même refus de la démocratie bourgeoise et libérale. Annah Arendt définissait les deux régimes comme « totalitaires ».

Personne n’a oublié le pacte germano-soviétique, où Staline et Hitler, dans un jeu complexe, s’étaient, entre autres, partagés la Pologne.

N’en déplaise à nos apprentis komsomols (jeunes communistes russes en 1917), il n’est donc pas illégitime de comparer les deux idéologies, et de les renvoyer dos-à-dos.

Ecrire cela fait-il de vous, dans la plus pure rhétorique stalinienne, un allié objectif des nazis ? Là encore, il ne sera pas difficile de rappeler à nos nostalgiques de Staline qu’il n’y a pas eu besoin d’Hitler pour provoquer des famines terribles en Ukraine, et pour engendrer les dictatures socialistes, avec un parti unique, des syndicats uniques, une presse unique, le goulag et les hôpitaux psychiatriques. Il n’y a qu’un apparatchik stalinien comme Marchais, pour y voir un bilan globalement positif, et un trotskiste indécrottable comme Krivine pour pleurer le jour de la chute du Mur.

Autre détail accablant pour les camarades, c’est au nom du communisme que Mao Tsé Toung abrutit son peuple et fit massacrer des millions de « révisionnistes », et c’est encore au nom de cette idéologie que Pol Pot et ses khmers rouges, formés dans les écoles du parti, à Paris, exterminèrent, en trois ans, le quart de leur population, dans des conditions atroces, inégalées à ce jour.

C’est également au nom de cette idéologie que les Hongrois et les Tchécoslovaques connurent les joies des tanks soviétiques anti-capitalistes. Et, puisque les jeunes communistes, sans doute sous-informés, osent évoquer la Résistance, rappelons-leur que si de nombreux communistes eurent une attitude exemplaire (comme d’autres résistants), leur parti ne rentra officiellement dans la Résistance qu’à partir de 1941, quand Hitler attaqua l’URSS, et qu’auparavant, il militait pour le défaitisme révolutionnaire.

Quitte à risquer un procès, nous aussi, de la part de ces apprentis Vichinsky (pour ces incultes, procureur des procès de Moscou), nous leur rappellerons cette réponse de notre site à un article de l’Humanité, qui classait RL à l’extrême droite.

http://ripostelaique.com/qui-de-riposte-laique-ou-de-lhumanite-est-le-plus-proche-de-lextreme-droite.html

Avec des arguments précis, nous démontrions que L’Humanité se situait bien plus près de l’extrême droite que Riposte Laïque. Et ce ne sont pas les dernières manifestations pro-palestiniennes, où les communistes, sans vergogne, défilaient auprès des fous d’Allah, et cautionnaient la charte du Hamas et les Allah abkar, qui nous feront changer d’avis.

Enfin, ne leur déplaise, Staline, qui fait partie de leur histoire, a tué beaucoup plus de communistes qu’Hitler.

Eux qui paraissent indignés par le fait qu’on puisse les qualifier de fascistes, ne doivent pas oublier que leur parti a utilisé ce mot pour qualifier les socialistes de social-fascistes, et les trotskistes d’hitlero-trotskistes. Les staliniens, enfin, ont utilisé ce mot infâmant contre tous ceux qui osaient parler de goulag en URSS?

Puisque les camarades se réclament, d’autre part, de Jaurès, rappelons que ce dernier disait : « le courage, c’est de chercher la vérité, et de la dire ». Rien à voir avec la lâcheté qui consiste à pleurnicher devant une polémique et à aller devant un tribunal bourgeois (pour reprendre la dialectique communiste) pour faire taire un adversaire.

Conclusion : au lieu de judiciariser le débat, que les jeunes communistes cessent de se conduire en petits fascistes ennemis des libertés publiques, et acceptent le débat contradictoire avec le maire de Saint-Etienne, et tous leurs adversaires politiques.

C’est cela qui différencie les fascistes et les staliniens des démocrates.

Lucette Jeanpierre

 

http://ripostelaique.com/les-jc-veulent-interdire-toute-comparaison-entre-le-communisme-et-le-nazisme.html

 

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Réponse à des prétendus anti-fascistes 

qui ne connaissent rien au fascisme

 

Article publié le 3 novembre 2013 par Jacques Chassaing - Article du nº 327

 

A un pseudo et soudain  « collectif anti-fascisme de Bourbon Lancy (71) »

 

Voici quelques  éléments qui font défaut à vos allégations, lesquelles confondent ou oublient Le Caudillo, le Duce, le Führer, Le Vojd, le Conducator …  et tous les autres.

 

Tout d’abord, j’entends vous rappeler que le nazisme ne peut s’expliquer sans l’étude approfondie de  la période et guerre 1870-1871, Commune de Paris, de la Première Guerre mondiale, de l’Armistice, du Traité de Versailles et des réparations et des dettes interalliées. La révolution bolchevique et la période 1919 – 1929 étant aussi prépondérantes pour la compréhension de l’émergence nazie.

 

Je précise d’emblée que dans mon esprit, explication et compréhension de l’Histoire ne signifient pas adhésion aux idéologies, dogmes, doctrines, religions et philosophies. De même, souverainetés nationales reconnues à tous les pays, ne riment pas dans mon esprit avec invasions, asservissements, immigrations massives opportunes, acculturations et colonisations. 

 

Outre les définitions, lexiques et glossaires que vous retrouverez dans tout ouvrage de référence traitant de nazisme, de fascisme, de totalitarisme je vous indique :

 

Concernant les fascismes, je n’ai trouvé plus exacte définition que celle apportée par René Rémond dans son Introduction à l’histoire de notre temps, 3. le XXè siècle de 1914 à nos jours (Points Histoire. 1974).

 

« …le terme qui désigne ces diverses forces trouve son origine dans l’expérience politique italienne : ont pris le nom de fascio des associations composées essentiellement d’anciens combattants qui se forment au lendemain de la guerre et s’emparent du pouvoir en 1922. Le nom s’étend de l’organisation au régime : par extension, on appelle alors fascisme le régime qui, en Italie, durera d’octobre 1922  – de la marche sur Rome – où le roi Victor-Emmanuel III confie à Mussolini le soin de constituer le gouvernement, à la chute de Mussolini, qui s’opère en deux temps (juillet 1943 et mai 1945). 

Le mot fascio a donc une fortune comparable à celle du terme soviet : à l’origine, il désignait un groupement et il en vient à désigner un régime et une idéologie. On est passé d’une structure à une politique.

 

L’usage du terme s’étend ensuite à d’autres expériences faites en d’autres pays, et finit par désigner tous les régimes, tous les mouvements, toutes les organisations qui présentent quelques parentés avec le régime de Mussolini.

 

Le fascisme devient un élément essentiel du tableau de l’Europe dans les années 1930, une des composantes du système des forces , et, à partir de 1935, l’option entre fascisme et antifascisme devient la principale ligne de partage, au point d’éclipser – momentanément – certains conflits aussi profonds et plus anciens, tel celui qui opposait, depuis des générations, la démocratie d’inspiration libérale et la démocratie socialiste.

 

L’usage du mot fait par les adversaires est essentiellement polémique et a abouti à oblitérer la notion, si bien qu’il faut commencer par la définir… »(Ce que fait l’auteur dans les 23 pages suivantes) « Collectif anti-fascisme » , je vous suggère d’approfondir ce sujet par la connaissance des oeuvres suivantes, lesquelles sont au nombre de mes sources.

 

ARTICLE le plus récent :

Le Monde dimanche 6 octobre 2013. Extrait d’un article collectif de Nicolas Lebourg historien et des politistes : Joël Gombin, Stéphane François, Alexandre Dézé, Jean-Yves Camu et Gaël Brustier "FN, un national-populisme… » Telle est l’extrême droite. Elle est une réalité continue de notre histoire politique, non un anathème.

 

Le national-populisme est installé dans notre vie politique depuis 130 ans. Il participe du système politique français de façon structurante. Le FN a évolué, étant aujourd’hui empreint de néopopulisme. Il respecte les règles légales de la compétition démocratique. Il n’y a pas plus de sens à le renvoyer à l’image de l’extrême droite radicale, en particulier du nazisme, qu’à le détacher de l’histoire de l’extrême droite française.

 

Cet espace politique est pluriel, comme les autres. Il évolue, comme les autres. Il doit être l’objet de débats sereins, comme les autres… »

 

Ayant lu ou vu moi-même tous ces témoignages, parmi d’autres encore, je vous propose « Collectif anti-fascisme », de les analyser à votre tour.

 

Jacques Chassaing http://ripostelaique.com/reponse-a-des-pretendus-anti-fascistes-qui-ne-connaissent-rien-au-fascisme.html

 

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                                     Quand les communistes aimaient les nazis

Publié le 15 juillet 2014 dans Histoire

 

La proximité intellectuelle entre les deux mouvements totalitaires est aussi ancienne que documentée.

Par Stéphane Montabert, depuis Renens, Suisse.

 

« Polémique : Un élu compare le PS aux nazis » titra Le Matin dans son édition du lundi 7 juillet. Un élu de la commune de Vernier se serait ainsi livré sur son blog à une odieuse comparaison apparentant le parti-national socialiste d’Adolf à un mouvement socialiste parmi tant d’autres, dont celui des socialistes suisses…

 

Effacée depuis, la phrase incriminée ne put échapper à la vigilance du journaliste de garde. Il y avait péril en la demeure puisque l’individu serait un « récidiviste », ayant osé une autre comparaison du même acabit il y a trois ans à peine ! Les rôles étaient distribués et le bûcher dressé. Tout était en place pour un procès médiatique retentissant… Mais le contraire se produisit. Au lieu du tollé attendu, un flot de commentaires allant en faveur de l’élu ou rappelant les accointances entre la gauche et le nazisme força Le Matin à supprimer promptement toute contribution des lecteurs sur le sujet. Caramba, encore raté !

 

Il faut croire que certains membres du grand public connaissent mieux l’histoire que nos journalistes au point de les troubler, car la proximité intellectuelle entre les mouvements totalitaires – nazisme, communisme, fascisme – est aussi ancienne que documentée.

 

Une si belle amitié

Dans le flot de l’histoire, attardons-nous sur un point particulier, la résistance française contre l’occupant nazi lors de la Seconde Guerre Mondiale où comme le mentionne l’historien François Furet « le PCF estime avoir été résistant avant même que la France ne soit occupée, avant même que la guerre ne commence ». L’historiographie en marche…

L’épisode de la Seconde Guerre Mondiale est important parce que la thèse de la résistance au nazisme est centrale dans l’argumentation des communistes (et par extension de toute la gauche) pour démontrer, par sa haine du nazisme, le fossé censé séparer les deux idéologies.

 

En réalité, il n’en fut rien. Des documents d’époque établissent clairement que le Parti Communiste français ne rentra en résistance qu’en 1941, lors de la rupture du pacte germano-soviétique et l’ouverture du Front de l’Est. Si les communistes français prirent officiellement les armes contre les nazis, ce fut sur ordre de Moscou.

 

Mais avant ? Les communistes étaient-ils prêts à en découdre en attendant juste une occasion ? Pas vraiment. Comme le rappellent les professeurs Jean Marie Goulemot et Paul Lidsky dans un ouvrage au titre iconoclaste, l’ambiance fut excellente entre les communistes et les nazis aux premières heures de l’occupation, le tout au nom de la lutte contre la bourgeoisie :

Il est particulièrement réconfortant en ces temps de malheur de voir de nombreux travailleurs parisiens s’entretenir avec les soldats allemands, soit dans la rue, soit au bistro du coin. Bravo camarades, continuez même si cela ne plaît pas à certains bourgeois aussi stupides que malfaisants ! La fraternité des peuples ne sera pas toujours une espérance, elle deviendra une réalité vivante. (L’Humanité, 4 juillet 1940).

 

L’Humanité ne dut sa réimpression qu’à la bonne volonté de l’occupant face aux demandes réitérées du PC français. Les communistes, bon princes, invitaient les Français à collaborer avec leurs nouveaux maîtres. Le national-socialisme cohabitait en bonne entente avec la branche locale de l’internationale socialiste. Comme le dit la déclaration d’intention du 20 juin du PCF aux nazis, « notre lutte contre Bonnet, Dal, Ray, Man cela a facilité votre victoire », « pour l’URSS nous avons bien travaillé par conséquent par ricochet pour vous ».

 

Enfin, si les communistes finirent par prendre les armes contre les nazis, c’était non à cause d’une opposition idéologique mais seulement à cause de circonstances propres à la guerre – les mêmes qui eurent aussi pour effet d’allier l’URSS de Staline aux États-Unis de Roosevelt sans que personne n’ose prétendre qu’une vision du monde rassemblât les deux pays.

 

La Seconde Guerre Mondiale jeta des peuples les uns contre les autres sans la moindre unité de doctrine. Autrement dit, la lutte armée entre l’Allemagne nazie et l’URSS n’est pas constitutive d’une incompatibilité idéologique.

 

Le socialisme comme valeur commune

La bonne entente temporaire entre les deux courants du socialisme donna lieu à un film documentaire récent, fort peu diffusé dans la sphère francophone (tout comme le film polonais sur le massacre de Katyn) mais éclairant bien des passerelles entre les deux idéologies. Rien n’est plus faux que le premier mythe du communisme, à savoir qu’il partirait de « bonnes intentions » :

 

Le communisme c’est la guerre des classes, et la guerre des classes implique de liquider une partie de la population. Pour restructurer la société, il faut d’abord tuer non seulement les opposants, mais aussi les intellectuels, les meilleurs travailleurs, les ingénieurs, etc. Des groupes entiers de la société. C’est le genre d’ingénierie sociale qu’ont mis en œuvre Lénine et Staline, Mao et Pol Pot, pour ne citer que les plus sanguinaires. Cette ingénierie sociale forcée répond aussi à des critères ethniques lorsque des peuples sont considérés comme trop réactionnaires. Karl Marx et Friedrich Engels prônaient eux-mêmes « l’extermination des Serbes et autres peuplades slaves, ainsi que des Basques, des Bretons et des Highlanders d’Écosse », tous des peuples trop peu évolués pour la révolution communiste et faisant ainsi obstacle à l’inéluctable « progrès » de l’humanité.

 

Les communistes furent donc non seulement aussi racistes que les nazis mais ajoutèrent l’épuration de classe à l’inventaire de leurs massacres. Marx écrivit dans son journal que « les classes et les races trop faibles pour maîtriser les nouvelles conditions de vie… » devaient « périr dans l’holocauste révolutionnaire ».

L’idéal socialiste ne s’embarrasse pas de sentiments. Si nazis et communistes divergeaient sur la méthode (nationalisme par la conquête ou internationalisme par la révolution) l’objectif du socialisme était partagé, d’où une collaboration de bon aloi entre les deux groupes:

 

De septembre 1939 à juin 1941, les Soviétiques [livrèrent] aux Allemands des groupes entiers de Juifs qui avaient fui l’occupant allemand. Le NKVD communiste [aida] à former la Gestapo nazie. Soviétiques et Allemands [discutèrent] ensemble de la manière dont il fallait résoudre la « question juive » en Pologne occupée. Les images d’archive de ces officiers soviétiques et allemands qui trinquent ensemble ou de cet officier communiste qui fait le salut nazi aux officiers SS devant un groupe de prisonniers juifs apeurés « rendus » aux Allemands sont sans équivoque. (…) La coopération entre le régime nazi et le régime bolchevique était un fait bien avant le Pacte Molotov-Ribbentrop et elle ne [s'arrêta pas] au simple partage des territoires d’Europe centrale entre les deux puissances.

Si le socialisme n’est pas une forme de nazisme, le nazisme est définitivement une forme de socialisme. Cet aspect était revendiqué par Adolf Hitler lui-même :

 

« Nous sommes socialistes, nous sommes les ennemis du système capitaliste tel qu’il existe c’est-à-dire basé sur l’exploitation de ceux qui sont économiquement faibles avec ses salaires injustes et l’estimation de la valeur de l’être humain qu’il établit à partir des seuls critères de richesse et de patrimoine plutôt que celles de responsabilité et de performance, nous sommes déterminés à détruire ce système par tous les moyens. » (Adolf Hitler, discours du 1er mai 1927).

 

La Seconde Guerre Mondiale mit fin au nazisme mais tous ne furent pas tués. On connaît l’histoire de scientifiques recrutés par les Américains ou récupérés par les Soviétiques pour leurs programmes spatiaux respectifs ; ceux-ci firent carrière en dépit de leurs liens avec le régime nazi. Il n’en est pas de même avec les anciens SS recrutés par Fidel Castro pour former ses troupes cubaines ; ceux-là furent recruté explicitement à cause de leur passé.

Aujourd’hui encore, le néonazisme survit en Allemagne avant tout sur les territoires de l’ancienne RDA. Ce n’est pas un hasard.

 

Connaître l’histoire

Les socialo-communistes de notre époque ne sont pas des adeptes du nazisme, bien au contraire. Ils ont reçu comme tout le monde l’enseignement de la vérité officielle selon laquelle nazisme et communisme se sont combattus historiquement parce qu’ils étaient l’opposé l’un de l’autre. Il n’empêche que cette thèse est fausse. Le passé brosse un portrait nettement plus nuancé des relations entre deux idéologies apparentées.

 

Aussi, lorsqu’un individu mentionne que les nazis formaient un mouvement socialiste parmi tant d’autres, il n’exprime rien d’autre que les faits historiques, fussent-ils dérangeants. On peut comprendre que la gauche contemporaine se sente offusquée par une telle comparaison, mais au lieu d’intenter une action en justice pour faire taire le fauteur de trouble, elle devrait plutôt faire preuve d’humilité face à son passé… Et se livrer à davantage d’introspection.

Peut-on espérer que la haine légitime de la gauche envers le nazisme l’amène un jour à remettre en question les objectifs politiques qu’elle a en commun avec lui ?

 

                                                                  http://www.contrepoints.org

 

 

 

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