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             Quand les jeunes chômeurs se révolteront-ils enfin?

 

                                       LES VIEUX (dont je fais partie) répondent à  François Rebsamen

                                faites travailler les jeunes - nous, ça suffit !

                                                                ***

 

 

 

               Radier les chômeurs ou dynamiter Pôle emploi ?

 

Le vrai problème n’est évidemment pas de radier les demandeurs des statistiques ou de virer les chômeurs de Pôle emploi : il est de leur trouver un job ! Et c’est ce que François Rebsamen a oublié.

Par Nicolas Nilsen.

 

Rebsamen, le ministre dit du Travail, a enfin trouvé la solution au problème du chômage : il vient de demander à Pôle emploi de « renforcer les contrôles pour vérifier que les gens cherchent bien un emploi ». Cela parait du simple bon sens (« chercher un emploi » étant la moindre des choses quand on se présente comme « demandeur d’emploi »). Mais que ce soit un ministre PS, ancien de la Ligue Communiste Révolutionnaire qui le propose, c’est évidemment plutôt assez amusant. Surtout quand on se rappelle les hurlements de la Gauche à l’époque où la Droite envisageait de le faire…

 

Mais peu importe. Car le vrai problème n’est évidemment pas de radier les demandeurs des statistiques ou de virer les chômeurs de Pôle emploi : il est de leur trouver un job ! Et c’est ce que Rebsamen a oublié.

 

Je suis toujours stupéfait de voir combien les ministre semblent habiter sur une autre planète : ils sont persuadés que, pour relancer la croissance, il leur suffit de faire des discours et de clamer qu’ils « aiment les entreprises », ou que pour résoudre le problème du chômage, il suffit de purger les statistiques et de radier les demandeurs d’emploi. Un demandeur d’emploi radié reste un chômeur sans emploi, avec cette différence qu’il sera dans la rue sans ressources au lieu d’être inscrit à Pôle emploi pour suivre une formation. Beau système dont on admire la performance !

 

Contrôler les chômeurs c’est bien, les placer c’est mieux !

Je regardais les derniers chiffres du chômage en juillet publiés le 27 août. Vous savez qu’on est maintenant à 5 747 300 chômeurs en France métropolitaine (auxquels il faut encore ajouter les chômeurs des DOM qu’ils s’obstinent à comptabiliser à part). Mais en réalité – si on comptabilise les radiations administratives et les personnes qui, bien que recherchant un emploi, ne s’inscrivent plus à Pôle emploi, tellement elles sont découragées – on est plus proche des 6 millions de chômeurs.

 

Mais il n’y a pas que ces 6 millions de chômeurs qui donnent des frissons dans le dos. Il y a aussi l’ancienneté au chômage et la durée d’inscription sur les listes des demandeurs d’emploi. Là aussi, c’est affligeant.

 

17 mois et demi d’ancienneté au chômage

Fin juillet 2014, en France métropolitaine, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits en catégories A, B, C depuis un an ou plus a augmenté de +9,4% en rythme annuel. L’ancienneté moyenne des demandeurs d’emploi était de 17 mois et demi (529 jours).

 

Bravo la performance de Pôle emploi ! Vous avez entendu Rebsamen s’en prendre aux gens de Pôle emploi et les blâmer pour cette contre-performance ? Non.

 

Si on regarde maintenant non plus ceux qui sont inscrits sur les listes mais ceux qui sont sortis, on voit qu’ils étaient inscrits en moyenne depuis 9 mois (275 jours) avant de trouver un job ou d’être radiés (pour aider Hollande à « inverser » la fameuse courbe du chômage).

 

Ces chiffres montrent donc qu’en moyenne, si on ne sort pas de Pôle emploi au bout de 9 mois, on a toutes les chances de rester encalaminé dans le paquet de ceux qui vont y rester 1 an et demi ! (et plus, puisque ça s’allonge)

Pôle emploi ne place pas, il radie.

 

Que fait donc Pôle « emploi » de ceux qu’il traîne ainsi depuis 18 mois sans se donner beaucoup de mal pour les placer ? Bonne question et je vous remercie de me l’avoir posée. Pôle emploi ne place pas, il radie progressivement pour améliorer les statistiques du chômage.

 

C’est évidemment cela le triple désastre : un système de placement qui ne place pas, qui s’ajoute à un système de formation professionnelle qui ne forme pas et qui débouche sur un système industriel qui n’embauche pas ! Voilà ce que devrait faire Rebsamen en priorité : dynamiter un système qui ne fonctionne pas et a complètement failli à sa mission. Mais avez-vous entendu des hommes politiques se préoccuper de ces chiffres ? Non, ils sont beaucoup trop occupés à se demander s’ils doivent se dire « socialistes » ou « social-démocrates », ou plutôt « sociaux libéraux » ou bien « libéraux démocrates », à moins que ce ne soit « démocrates sociaux »… En fait ils se moquent du monde et, pour vous dire la vérité, je pense qu’ils n’en ont plus pour très longtemps. Le système qu’ils ont été incapables de réformer à froid finira inévitablement par leur exploser à la figure. Quand un État est en faillite, quand il y a 6 millions de gens qui arrivent en fin de droits, ça risque de faire mal.

 

Des millions de jeunes Européens au chômage

En Europe, ce n’est pas mieux. Eurostat indique qu’en mars 2014, 5,340 millions de jeunes Européens de moins de 25 ans étaient au chômage dans l’UE à 28 (mais si, vous savez bien, cette fameuse Europe à 28 qui devait nous apporter croissance, prospérité, emplois, bonheur et joie de vivre…). Un peu partout dans l’Union européenne – du Portugal à l’Europe de l’Est – les taux de chômage des moins de 25 ans sont effrayants : en mars 2014, le taux de chômage des jeunes s’établissait à 22,8% dans l’UE28 et 23,7% dans la zone euro. Trop cool l’Europe. Les taux les plus élevés étaient évidemment en Grèce (56,8% en janvier 2014) et en Espagne (53,9%). Et le taux le plus bas (mais chut, il ne faut pas le dire car c’est évidemment la faute à cette méchante Angela Merkel) était enregistré en Allemagne (7,8% en mars 2014)…

 

En France, pendant que le chômage atteignait des niveaux record, Hollande commémorait la fin de l’esclavage, le débarquement de Normandie, le début de la guerre de 14, la mort de Jaurès, le débarquement de Toulon… etc. Donc les choses sont bien en main : le Premier ministre vient de réaffirmer que les 35 heures ne seraient pas remises en cause ; Claude Bartolone, le Président de l’Assemblée Nationale, qu’on « ne touchera pas aux totems du progrès social », Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, que le « social libéralisme » n’est « ni notre langage, ni notre culture, ni notre tradition »… Et maintenant c’est Rebsamen qui va radier les chômeurs sans que Pôle emploi et le système de formation professionnelle aient reçu le moindre coup de bâton pour ne pas avoir trouvé de job aux chômeurs. Le futur s’annonce donc radieux pour l’emploi !

 

Quand tous ces jeunes chômeurs se révolteront…

Ce qui est le plus inquiétant quand on regarde l’évolution des courbes du chômage des jeunes, c’est la tendance lourde dans une Europe en crise, sans croissance et donc sans perspective d’emploi et d’embauche.

 

Car même si les statistiques les plus récentes sont faussées par les radiations massives destinées à lisser les données et faire provisoirement fléchir les courbes officielles, ce qui demeure c’est l’aveuglement sidérant des dirigeants européens qui ne voient pas les bombes à retardement placées au cœur même de leurs jeunesses.

Quand ouvriront-ils enfin les yeux pour voir qu’il y a le feu et qu’il faut arrêter les prétendus plans européens de relance ruineux qui non seulement ne marchent pas mais sont financés par la dette, c’est-à-dire précisément par ces mêmes jeunes qui ne trouvent pas de job et sont à la rue ! Comment ne le comprennent-ils pas ?

Ces jeunes-là ne pourront évidemment pas payer la dette accumulée par les politiques et ils se révolteront ! Bientôt ils casseront tout ou deviendront fascistes : l’un puis l’autre, ou l’un et l’autre. Chemises noires, chemises brunes, chemises rouges, peu importe, ils s’en foutent : quand ils arriveront en fin de droits ils finiront n’importe comment par tout casser. Dans « Like a rolling stone », Bob Dylan le disait très justement : « When you ain’t got nothing, you got nothing to lose… » Les jeunes européens au chômage n’auront rien à perdre.

Et pour ceux qui critiquent l’Allemagne (comme tous les abrutis qui étaient réunis à la dernière Université d’été du PS), il suffit de regarder où se situe la courbe allemande, ne serait-ce que pour comprendre comment fonctionne une économie qui marche.

Que de temps perdu !

Les forces qui tractent la société sont très lentes à se mettre en mouvement, et il est très difficile d’en modifier la trajectoire rapidement. D’où l’urgence de prendre le taureau par les cornes et de se bouger. Prenez la formation professionnelle des jeunes par exemple, ça se compte en années. Pareil pour le redressement de l’appareil productif : rien avant des dizaines d’années. Pareil pour la réforme du placement des chômeurs : il faudra des années pour dynamiter Pôle emploi qui a totalement failli dans sa mission. Il faudrait avoir le courage de s’y attaquer au canon – comme si on était en guerre – et avec une énergie farouche. Mais ce qui intéresse aujourd’hui les médias et les hommes politiques, c’est uniquement de savoir si Moscovici a enfin obtenu son strapontin à Bruxelles ; si Montebourg a vraiment dit que Hollande était un incapable, ou si les 35 heures sont ou non une chance pour la France… On croit rêver. Je comprends que les Français soient démoralisés : leurs dirigeants politiques ne sont pas seulement désespérants et décourageants, ils sont totalement affligeants. Vivement que ce vieux système explose et que le bruit de l’explosion les réveille enfin.

 

Nicolas Nilsen http://www.contrepoints.org

 

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                                         LES VIEUX (dont je fais partie) répondent à Hollande et  François Rebsamen:

                                     faites travailler les jeunes - nous, ça suffit !

 

                                      Les chefs de bande des voleurs de retraites et de pensions, c'est à dire Sarkozy, Hollande et les parlementaires UMPS qui ont vendu la France, persistent dans leur volonté de bien achever les seniors, comme on achevait bien les chevaux  après la débâcle boursière de 1929. 

 

Comme les députés et les sénateurs qui ne veulent pas entendre que les générations de spoliés (dont je fais partie) n'ont rien à faire de pseudos emplois sous perfusion, tous s'exposent à une explosion sociale sans précédent. Car comme le souligne le Figaro* : "«… Il serait temps que nos gouvernants actuels de la France -François Hollande, le premier- en prennent conscience, notamment en ce qui concerne les chômeurs seniors…"

 

Or, devant "… l'utilisation à plein du traitement social du chômage (emplois d'avenir, contrats aidés, stages, formation, contrats de génération…) qui permet de basculer les chômeurs des trois premières catégories de Pôle emploi sur les deux dernières (dont on ne parle jamais) et le fait que de plus en plus de jeunes retardent leur entrée sur le marché du travail, soit en prolongeant leurs études, soit en partant à l'étranger…", la seule réponse de la Gauche gredins, qui ne va pas tarder à être rejointe par la Droite initiatrice de l'injuste réforme des retraites, est : brader le travail des vieux en créant une "…  une sorte de «smic vieux». Un tel dispositif permettrait aux demandeurs d'emploi de plus de 55 ans -qui n'ont aucune chance de retrouver un emploi, il faut être réaliste- de se vendre mieux sur le marché en étant tout simplement moins cher…"

 

En somme, continuer à travailler jusqu'à 62-65-67 ans, au rabais, en attendant de crever. Inutile de dire que les choses ne vont pas se passer ainsi.

Jacques Chassaing

 

* http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2013/11/28/20002-20131128ARTFIG00085-les-seniors-les-vraies-victimes-de-la-politique-de-l-emploi.php

 

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                               Bac pour Tous: la fumisterie consensuelle

 

"> En 1980 le baccalauréat était obtenu par 26 % d’une classe d’âge. Avoir son « bachot », à l’époque, cela représentait quelque chose ! Le précieux diplôme en poche, on était à peu près sûr de trouver un bon travail.

> En 1995, le taux de bacheliers dans une génération était monté à 63%.

> Et en 2012, il culminait à… plus de 76%.

> En trente ans, les élèves français sont-ils devenus des génies ?

> On pourrait le penser, car parallèlement, le taux de réussite n’a pas cessé de progresser. Plus de 9 candidats sur 10 au bac général décrochent désormais le diplôme.

> Mais malheureusement, les enquêtes internationales indiquent une toute autre réalité : selon ces dernières, plus de 30% des élèves français de 6ème ne maîtrisent plus les bases en mathématiques. Et environ 20% d’une classe d’âge, à 18 ans, est en situation d’illettrisme !

 

> Comment en est-on arrivé là ?

> La réalité, la voici : on n’a cessé, d’année en année, d’abaisser le niveau d’exigence, du CP à la Terminale. D’introduire des pédagogies funestes, comme la méthode globale dans l’apprentissage de la lecture. Pour faire « gonfler » artificiellement le nombre de bacheliers, et masquer l’effondrement de la transmission du savoir, on a multiplié les options, le contrôle continu, les dispenses, les repêchages… les professeurs nous racontent chaque année la grande farce des « réunions d’harmonisation », où des copies lamentables, à peine écrites en français, se trouvent propulsées à la moyenne sous pression du Ministère.

> Cela permet aux politiques de se féliciter de la « démocratisation » du système éducatif et de draguer les voix des fédérations de parents d’élèves.

> Seulement voilà : comme on le donne presque à tout le monde, ceux qui sortent du système scolaire sans le bac ont de fortes chances de rester au chômage ou de stagner dans des emplois sous-qualifiés.

> Ainsi, comme le remarquait le grand historien Jacques Marseille, on a réussi le tour de force de faire du baccalauréat à la fois un « monument d’hypocrisie nationale » et un « instrument d’inégalité sociale ». On peut déjà parier que le cru 2014 sera un record sur cette lancée…"

 

antoine.blondel.sos@gmail.com

www.soseducation.org

 

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SNCF : LA CGPME SUGGÈRE UN PACTE D'IRRESPONSABILITÉ

 

 

                                                                                                Maintenant cela suffit

 

 

La SNCF n'appartient pas à une minorité agissante qui sous le fumeux prétexte de défendre l'intérêt commun, ne se préoccupe que de son propre statut, il est vrai très avantageux. 

 

Emmenés par des syndicats extrémistes pour lesquels "réforme" sonne comme un gros mot, les grévistes n'hésitent pas à prendre en otage des millions de salariés fragilisant d'autant les PME qui les emploient.

 

               Où sont-ils ces vertueux syndicalistes qui, il y a quelques jours encore, traitaient les employeurs de "geignards" ?

 

               A eux qui menaçaient le Pacte de Responsabilité, la CGPME suggère que l'on propose un Pacte d'Irresponsabilité.

 

La France n'a pas les moyens de supporter un mouvement social dont le coût est de plusieurs centaines de millions d'euros par jour.

 

                   Le gouvernement doit maintenant faire en sorte d'assurer la liberté de circuler et de travailler librement.

 

 

                                             http://www.cgpme-ra.org/loire/sncf-cgpme-suggere-pacte-irresponsabilite.html

 

                                                                       *******

 

Le service public est une expression piège typique de l’idéologie française.

Mieux payés, travaillant moins et moins longtemps, sûrs de leur emploi, ils n’hésitent pas à nuire à ceux qui ont besoin de se déplacer pour leur travail ou pour en trouver. Et c’est au nom du « service public » que la grève coûte 100 millions d’euros chaque jour à l’économie nationale.

 

          Pour une révolution à la SNCF : à bas les privilèges !

 

Le socialisme est le vivant paradoxe d’une société en train (sic) de mourir. [...] À force de faire des promesses et de tarir la source qui permet de les tenir, le peuple de gauche se rebiffe. Les vraies victimes n’ont que leur bulletin de vote et devront attendre six mois de plus, les régionales étant retardées. Mais il y a les « aristos » du système, les massacreurs patentés de notre économie, les syndicats des services prétendus publics, toujours prêts à dégainer la grève avant de « causer ». [...]

 

Ceux qui ont empêché l’État et ses gouvernements légitimes de procéder à des réformes non seulement justes, mais indispensables, menées tambour battant à l’étranger, se moquent de la vie des autres et, bien sûr, de l’intérêt du pays. La sauvegarde des avantages est l’unique préoccupation. Gag : CGT et Sud-Rail se livrent à une concurrence syndicale effrénée pour entraver l’ouverture du fer à la concurrence. Non pour protéger les usagers, mais pour leur interdire de devenir des clients, capables de choisir où est leur intérêt. Et au nom du service public, l’une de nos idoles au pied de laquelle trois génuflexions s’imposent.

 

Le service public est une expression piège typique de l’idéologie française. Que l’État ou les collectivités assurent la continuité du fonctionnement de services vitaux pour le pays et l’égal accès des Français à ceux-ci est un impératif. Cette mission, en dehors des fonctions régaliennes, peut être concédée à des opérateurs privés. Le rail est déjà en concurrence avec les autres moyens de transport. L’arrivée de celle-ci sur le rail y introduira plus de liberté et d’économies pour les clients, plus de productivité pour les opérateurs. Même si l’Europe ne l’imposait pas, il faudrait le faire. L’hypocrisie du système actuel est totale.

 

La SNCF, à travers ses satellites, pratique la concurrence à l’étranger et freine des quatre fers (sic) lorsqu’elle tente son entrée en France. L’enjeu de la grève est politique. En voulant restaurer une société unique, les syndicats grévistes veulent maintenir la SNCF, et à travers elle, le sacro-saint statut, à l’abri des autres opérateurs, auxquels on imposerait le même carcan statutaire. Or, la consanguinité entre les frères siamois actuels, leur séparation en trompe-l’œil sont responsables des retards et des déconvenues [...]

 

Au nom d’un « service public » peu efficace, les syndicats veulent priver les Français de la liberté de choisir leur opérateur, comme ils le font pour l’avion ou le téléphone avec bénéfice, et maintenir l’inégalité flagrante entre les détenteurs du statut et les salariés lambda. Mieux payés, travaillant moins et moins longtemps, sûrs de leur emploi, ils n’hésitent pas à nuire à ceux qui ont besoin de se déplacer pour leur travail ou pour en trouver. Et c’est au nom du « service public » que la grève coûte 100 millions d’euros chaque jour à l’économie nationale.

 

Mesure-t-on l’aberration qui consiste, pour des agents de l’État, à refuser une réforme voulue par celui-ci en le faisant chanter sous la menace de grève ? La grève est légitime lorsqu’une négociation est bloquée dans l’entreprise, pas avant. [...] La comparaison avec l’Allemagne est, une fois encore, édifiante. La grève du service public y est impossible. Mais les employés des opérateurs du ferroviaire, y compris la Deutsche Bahn, sont soumis au droit commun. Pas de grève. Pas de statut privilégié. En voilà, une révolution !

 

Extrait de : Pour une révolution à la SNCF : à bas les privilèges !

http://www.bvoltaire.fr/christianvanneste/revolution-sncf-bas-les-privileges

 

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